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- • Etape 7
Journal |
27 septembre : de Gijón à Avilès |
28 septembre : d’Avilès à El Pitu |
29 septembre : d’El Pitu à Cadavedo |
30 septembre : de Cadavedo à Piñera |
1er octobre : de Piñera à Tapia de Casariego |
2 octobre : de Taria de Casariego à Gondán PS L’entrée en Galice, la dernière province du parcours, mérite bien un petit complément de photos |
3 octobre : de Gondán à Mondoñedo |
4 octobre : de Mondoñedo à Castromaior |
5 octobre : de Castromaior à Baamonde |
6 octobre : de Baamonde à Miraz |
7 octobre : de Miraz à Sobrado dos Monxes |
8 octobre : de Sobrado dos Monxes à A Brea |
9 octobre : de A Brea à Santiago de Compostela A R R I V E E !!! Un petit peu de mal à repartir pour gravir le Monte do Gozo un peu décevant. Descente vers Santiago sur le bas-côté d’une route à grande circulation et sous plusieurs ponts d’autoroutes, mais aussi remontée sur l’autre côté assez fatigante. On voudrait voir le bout du nez de la cathédrale !!! On n’a pas l’impression qu’il y ait grand-monde, mais enfin les abords de la cathédrale se font entendre (musiciens) et on arrive sur le parvis. Enfin arrivés ! La cathédrale est en travaux, tant pis ! On s’embrasse, on fait des photos, ensemble, par groupes, seul, pour les autres… On se fait accueillir par ceux qui sont arrivés la veille. On est un peu étourdi, alors on s’assoit et on regarde les autres pèlerins arriver du portail Nord. On en reconnaît, on se congratule… Puis vient le moment où on se dit qu’il faut chercher la Compostella, et là, ça se complique ! Une queue tout autour du bâtiment et qui continue dans les escaliers, environ 3 heures d’attente sous le soleil. On commence mais on abandonne bien vite en se disant qu’on se lèvera tôt demain matin pour être dans les premiers et attendre au frais. On va donc à l’albergue qui n’est vraiment pas loin. Ce soir on se fera un beau repas d’adieu : tomates, mozzarella et carbonara accompagnées de vino tinto… |
10 octobre : à Santiago de Compostela Du coup, petit déjeuner en ville puis retour à l’albergue. La messe des pèlerins ayant lieu à 12h, nous nous mettons en route à 11h00 et nous heurtons 5mn plus tard à une file d’attente d’au moins 100 mètres. On arrive à entrer et nous décidons de nous asseoir par terre. On ne pouvait pas rêver meilleure place ! Messe “animée” par une religieuse qui nous fait répéter les chants avec une voix à vous flanquer par terre. Entrée des prêtres et nous avons droit au botafumeiro, l’encensoir géant propulsé de main de maître par 4 officiants. Nous sortons rapidement car le Parador (hôtel-restaurant de luxe) nous attend pour 13h00 : table dressée pour dix, salle feutrée, belle vaisselle, serveurs, on avait oublié que ça pouvait exister. Sensation de trop grande plénitude car c’est le premier jour sans marche et avec repas complet de midi. Cet après-midi, on continue à dire au revoir, mais on accompagne tous les trois Daniella à la gare: trop dur de se séparer ! Voilà, c’est ma dernière petite note écrite. Demain, je vais à Muxia avec Han et après-demain, je m’embarque pour 32 heures de bus vers Strasbourg. A très bientôt et MERCI sincèrement de m’avoir suivie. Vous ne pouvez pas imaginer le soutien moral que vous avez représenté, vous tous, visages connus et inconnus.
A Santiago-de-Compostela, en ce 10 octobre 2017 Annie |
Fin de l’étape 7
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Photos de l’étape 7
(diaporama automatique en fondu enchaîné)